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Foire aux questions

Vous avez des questions ? Nous avons des réponses ! Choisissez une des catégories suivantes ou transmettez-nous vos questions afin que l’on puisse bonifier notre FAQ.
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Si vous respectez les critères d’accès de la fédération nationale, vous pourrez faire une demande d’inscription à une épreuve internationale par la procédure en vigueur à Triathlon Canada. Pour connaître les critères d’accès, communiquez avec Triathlon Canada.

L’accès à l’équipe canadienne de paratriathlon dépend de l’expérience sportive précédente de l’athlète. Triathlon Canada cherche à recruter des athlètes ayant des antécédents sportifs de haut niveau dans sa voie parasport. Si vous êtes un·e athlète paralympique d’un autre sport ou avez participé à des parasports d’élite, communiquez avec Triathlon Québec à l’adresse info@triathlonquebec.org et Triathlon Canada.

Il existe différentes subventions possibles. Visitez les sites du comité paralympique canadien et de Parasports Québec pour voir s’il y a des possibilités. Vous trouverez aussi de l’information sur les pages Équipement et Documentation dans la section Paratriathlon du site de la Fédération.

Vous pouvez également vérifier auprès des collectivités locales et des partenaires privé·e·s.

Aucune affiliation spéciale n’est nécessaire pour créer une section Paratriathlon. Il suffit de définir dans les statuts de votre club les modalités, les objectifs et les moyens de votre section Paratriathlon.
Des formations et de l’information sont mises à votre disposition pour vous soutenir, ainsi que vos entraîneur·e·s. Communiquez également avec la Fédération pour que votre club soit ajouté à la liste des clubs accueillant des paratriathlètes.

Triathlon Québec détient et fournit du matériel spécifique à l’organisation d’une épreuve de paratriathlon (bonnets de natation de couleur selon les catégories, dossards de course, plaquettes en caoutchouc pour la sortie de natation et vestes d’identification pour les assistant·e·s personnel·le·s).

Il existe aussi différentes subventions possibles. Visitez les sites du comité paralympique canadien et de Parasports Québec pour voir s’il y a des possibilités. Vous pouvez également trouver de l’information sur la page Équipement dans la section Paratriathlon.

Un guide technique d’organisation d’une épreuve de Paratriathlon sera mis à disposition sur le site de Triathlon Québec en 2025. Ce document présente les aménagements qui peuvent être prévus, ainsi que les ressources humaines conseillées.

Les épreuves de niveau québécois sont accessibles à tous les types de handicaps, en particulier si une classification uniquement basée sur le mode de locomotion est appliquée. Donc les athlètes ayant un handicap mental sont considéré·e·s comme des triathlètes et peuvent aussi être paratriathlètes au regard des règles de compétition paratriathlon de Triathlon Québec et peuvent donc participer aux épreuves de niveau québécois.

Par contre, les différentes déficiences mentales ne sont pas représentées dans les classes de handicap officielles définies par la fédération internationale de triathlon (World Triathlon) et par le Comité Paralympique International. Les athlètes ayant un handicap mental ne peuvent donc pas participer aux épreuves internationales de paratriathlon.

Les épreuves de niveau québécois sont accessibles à tous les types de handicaps, en particulier si une classification uniquement basée sur le mode de locomotion est appliquée (catégorie debout). Par contre, les personnes sourdes et malentendantes ne sont pas représentées dans les catégories officielles réglementées par le Comité Paralympique International. Elles ne peuvent donc pas participer aux épreuves internationales de paratriathlon.

Il n’est en théorie pas possible de répondre sans que l’athlète soit passé·e devant des classificateur·trice·s. Dans tous les cas, prendre une licence paratriathlon par erreur ne vous sera pas préjudiciable puisqu’il s’agit ni plus ni moins que d’une licence classique avec la mention « paratriathlon ». Cela ne vous empêchera pas de participer aux épreuves pour athlètes non handicapé·e·s.

Les paratriathlètes pourront être classifié·e·s selon la classification simplifiée avant le départ des épreuves de paratriathlon par un·e membre de la Fédération. Dans le cas où un·e paratriathlète serait admissible aux événements de plus haut niveau, une classification en bonne et due forme devra être effectuée selon la réglementation de World Triathlon.

Chaque paratriathlète doit être classé·e dans une catégorie de handicap avant de prendre le départ. La fédération internationale de Triathlon (World Triathlon) a établi la réglementation pour les catégories de handicap. Celle-ci s’applique aux épreuves internationales de paratriathlon, ainsi que sur les épreuves canadiennes donnant accès à un titre ou à une sélection, sauf avis contraire.

Il existe neuf classifications définies dans la réglementation de World Triathlon, dont six sont admissibles aux médailles.

  • PTWC : utilisateur·trice·s de fauteuils roulants. Les paratriathlètes doivent utiliser un vélo à main sur le parcours de vélo et un fauteuil de course sur la partie course à pied. Selon leur limitation physique, il y a deux sous-classes : PTWC1 et PTWC2.
  • PTS2 : handicaps sévères. Lors des épreuves de vélo et de course à pied, les athlètes amputé·e·s peuvent utiliser des prothèses approuvées ou tout autre dispositif de soutien approuvé.
  • PTS3 : handicaps considérables. Lors des épreuves de vélo et de course à pied, les athlètes amputé·e·s peuvent utiliser des prothèses approuvées ou tout autre dispositif de soutien approuvé.
  • PTS4 : handicaps modérés. Lors des épreuves de vélo et de course à pied, les athlètes amputé·e·s peuvent utiliser des prothèses approuvées ou tout autre dispositif de soutien approuvé.
  • PTS5 : handicaps légers. Lors des épreuves de vélo et de course à pied, les athlètes amputé·e·s peuvent utiliser des prothèses approuvées ou tout autre dispositif de soutien approuvé.
  • PTVI : déficit visuel partiel ou total. La Fédération internationale des sports pour personnes aveugles (IBSA) et le Comité International Paralympique (CIP) définissent des sous-catégories PTVI1, PTVI2, PTVI3, qui incluent les athlètes qui sont totalement aveugles (B1) et les athlètes partiellement voyant·e·s (B2 et B3). La portion vélo se fait obligatoirement sur un vélo tandem, et un·e guide est exigé·e pendant toute la course à pied.

Dans le but de faciliter l’accueil des paratriathlètes sur les épreuves de niveau québécois, la classification des athlètes a été simplifiée par mode de locomotion. La classification simplifiée permet de classer rapidement tous les paratriathlètes désirant participer à un triathlon. Cette classification simplifiée découle de la réglementation de World Triathlon.

Dans le cas où un·e paratriathlète serait admissible aux événements de plus haut niveau, une classification en bonne et due forme devra être effectuée selon la réglementation de World Triathlon.

Voici les catégories simplifiées, par mode de locomotion, qui sont utilisées lors des épreuves de paratriathlon de niveau québécois :

 

Catégories simplifiées et descriptifsClassification World Triathlon
Catégorie fauteuil
Natation – vélo à main – fauteuil de course
PTWC1 et PTWC2 : Utilisateurs de vélo à main et fauteuil de course
Catégorie debout
Natation – vélo – course à pied

PTS2 : Handicaps sévères



PTS3 : Handicaps significatifs




PTS4 : Handicaps modérés




PTS5 : Handicaps légers

Catégorie handicap visuel
Natation (avec guide) – vélo tandem –
course à pied (avec guide)

PTVI B1 : Non-voyants



PTVI B2 et B3 : Malvoyants

Catégorie vélo/fauteuil
Natation – vélo – fauteuil de course
Classe sportive non officielle
Catégorie vélo tricyle
Natation – tricycle – course à pied
Classe sportive non officielle

Consultez notre répertoire des entraîneur·e·s. Plusieurs offrent le service aux paratriathlètes.

Dans tous les cas, les deux personnes doivent prendre l’adhésion d’un jour de Triathlon Québec ou être membres de la Fédération. La question du paiement des droits d’inscription revient au comité organisateur. Triathlon Québec recommande de ne faire payer qu’un droit d’inscription, mais cela ne constitue pas une obligation.

Oui, les athlètes ayant une déficience intellectuelle peuvent participer à des épreuves de paratriathlon. Les paratriathlètes, quel que soit leur handicap, doivent avoir une adhésion annuelle ou prendre l’adhésion d’un jour à la Fédération.

Les différentes déficiences intellectuelles ne sont pas représentées dans les classes de handicap officielles définies par la fédération internationale de triathlon (World Triathlon) et par le Comité Paralympique International. Les athlètes ayant une déficience intellectuelle ne peuvent donc participer sur aucune épreuve internationale de paratriathlon.

Les épreuves où une classification uniquement basée sur le mode de locomotion peut être appliquée sont accessibles à tous les types de handicaps.

Il n’est en théorie pas possible de répondre sans que l’athlète soit passé·e devant des classificateur·trice·s. Vous pouvez consulter la réglementation Triathlon Québec, pour connaître les classes de handicap officielles admissibles au paratriathlon (elles sont définies par la fédération internationale de triathlon, World Triathlon).

Sachez qu’une réglementation plus souple est appliquée au Québec pour permettre l’accès aux athlètes dont le handicap n’est pas pris en compte dans la réglementation internationale (p. ex. : les personnes sourdes, les personnes présentant un handicap mental, etc.). Une classification uniquement basée sur le mode de locomotion est aussi appliquée par Triathlon Québec.

Dans tous les cas, prendre une adhésion « paratriathlon » par erreur n’est pas un problème puisqu’il s’agit d’une adhésion classique avec la mention « paratriathlon ». Cela ne vous empêchera pas de participer aux compétitions.

Le·La guide doit fournir les mêmes garanties que l’athlète puisqu’il·elle pratique le même sport. S’il·elle est non-membre Triathlon Québec, cette personne doit, comme l’athlète pilot·é·e, prendre une adhésion d’un jour lors de l’inscription à la compétition.

Lors de leur adhésion, nous recommandons aux guides de prendre une adhésion avec mention « paratriathlon » pour les raisons évoquées à la question précédente. Les guides peuvent spécifier leur statut de « guide » lors de leur adhésion.

Pour devenir membre Triathlon Québec, l’athlète, que cette personne soit en situation de handicap ou non, doit suivre la même procédure auprès de la Fédération. Par contre, une mention « paratriathlon » sera ajoutée à l’adhésion des athlètes en situation de handicap.

Pour les athlètes en situation de handicap, il faut répondre « oui » à la question « Êtes-vous une personne en situation de handicap ? » lors de l’adhésion. Les athlètes doivent par la suite spécifier leur situation de handicap au moyen du menu déroulant.

Cela permet à Triathlon Québec d’identifier les pratiquant·e·s du paratriathlon et de leur faire parvenir des informations liées au paratriathlon. L’adhésion avec la mention « paratriathlon » ne diffère pas des autres adhésions et comporte les mêmes avantages. De plus, il n’y a aucune preuve du handicap à fournir, car la mention « paratriathlon » est uniquement déclarative.

Dans un monde idéal, chaque paratriathlète est accompagné·e de son·sa propre assistant·e personnel·le. Dans le cas où le·la paratriathlète n’est pas accompagné·e de son·sa propre assistant·e personnel·le, le comité organisateur doit mettre à disposition des bénévoles jouant le rôle d’assistant·e·s personnel·le·s aux paratriathlètes ayant besoin d’une assistance hors course (retrait des dossards, déplacement, etc.) ou en course (zone de prétransition, zone de transition, etc.). Le·La paratriathlète doit contacter le comité organisateur et en faire la demande lors de son inscription.

Les assistant·e·s personnel·le·s sont des personnes aidant les paratriathlètes lors des phases de transition de l’épreuve. Chaque assistant·e est affecté·e à un seul paratriathlète. Dans certaines catégories, le recours à un·e assistant·e personnel·le est interdit.

Par exemple, un maximum de 1 assistant·e personnel·le est autorisé pour la catégorie « fauteuil ». Aucun·e assistant·e personnel·le n’est autorisé·e pour la catégorie « handicap visuel », puisque le·la guide fait office d’assistant·e personnel·le. Pour les catégories « debout », « vélo/fauteuil » et « vélo-tricycle », un maximum de 1 assistant·e personnel·le est accepté. Le processus de classification permettra de déterminer si un·e assistant·e personnel·le est alloué·e ou non pour ces catégories.

Les assistant·e·s personnel·le·s sont autorisé·e·s à aider les paratriathlètes seulement pour les actions suivantes :

  • Porter les prothèses ou autres appareils fonctionnels
  • Porter l’athlète dans et hors du vélo à main et du fauteuil de course
  • Retirer la combinaison isothermique et les vêtements de l’athlète
  • Réparer le vélo et aider l’athlète avec les autres équipements dans les zones de prétransition et de transition ou dans la zone de changement de roue – Seul·e un·e guide peut aider l’athlète qu’il·elle guide à réparer le tandem
  • Ranger le vélo dans la zone de transition

Il est important de savoir que tou·te·s les assistant·e·s personnel·le·s sont soumis·es aux règles de compétition en vigueur, en plus des autres règlements jugés opportuns ou nécessaires par l’officiel·le en chef. Toute mesure prise par un·e assistant·e personnel·le qui permet de propulser les paratriathlètes peut entraîner une disqualification.

Tou·te·s les assistant·e·s personnel·le·s doivent être identifiables. Triathlon Québec mettra des vestes à leur disposition. Les vestes devront être retournées à la fin de l’épreuve.

Tou·te·s les assistant·e·s personnel·le·s doivent être positionné·e·s dans la zone de transition à l’emplacement de l’athlète assisté·e. Ils·Elles ne peuvent circuler sur les parcours.

Dans tous les cas, les deux personnes doivent prendre l’adhésion d’un jour de Triathlon Québec ou être membres de la Fédération. La question du paiement des droits d’inscription revient au comité organisateur. Triathlon Québec recommande de ne faire payer qu’un droit d’inscription, mais cela ne constitue pas une obligation.

Pour le prêt ou la location de vélos tandem et de vélos à mains, vous pouvez contacter le Centre national de cyclisme de Bromont. Pour le prêt ou la location d’un fauteuil de course, vous pouvez contacter Parasports Québec. La maison André Viger peut également offrir du matériel particulier.

Visitez également notre page Équipement dans la section Paratriathlon pour plus de détails.

Le·La guide doit fournir les mêmes garanties que l’athlète puisqu’il·elle pratique le même sport. Si la personne n’est pas membre de la Fédération, elle doit, comme l’athlète qu’elle pilote, prendre une adhésion d’un jour lors de l’inscription à la compétition.

Sélectionnez le filtre « Paratriathlon » sur le calendrier TQ pour voir tous les événements accessibles. Les événements accessibles sont ceux qui ont été identifiés par la Fédération, car ils respectent le guide technique d’organisation pour le paratriathlon.

Il n’y a aucun document particulier à fournir pour participer à un événement. Vous n’avez qu’à vous inscrire auprès de l’organisateur·trice dans la catégorie « Paratriathlon ». Assurez-vous que le parcours est accessible en visitant le calendrier de Triathlon Québec (sélectionnez le filtre « Paratriathlon »). Tou·te·s les participant·e·s doivent être membres de la Fédération ou prendre l’adhésion d’un jour lors de l’inscription à la compétition.

Non. Un·e athlète ne peut pas recevoir d’aide extérieure pendant l’épreuve, p. ex. : un·e spectateur·trice qui aide un·e athlète à réparer son vélo. Un tel cas entraîne une disqualification automatique. On peut cependant accepter l’aide d’un·e officiel·le, d’un·e bénévole ou d’un·e autre athlète, pourvu que les deux athlètes terminent leur course, sinon les deux sont disqualifié·e·s. Par exemple, un·e athlète qui donne une chambre à air à un·e autre athlète est autorisé·e. Enfin, un·e athlète qui a terminé sa course ne peut pas aider un·e athlète encore en course, puisque ce serait considéré comme de l’aide externe.

Le port du dossard est obligatoire seulement lors de la course à pied. Il est idéalement attaché sur une ceinture de course ou avec des épingles et doit être porté à l’avant.

Voici l’âge minimum pour chaque participant·e selon les distances.

  • Découverte : 10 ans
  • Sprint : 14 ans
  • Olympique : 16 ans

L’âge minimum pour participer à des distances sprint est de 16 ans. Pour participer à des distances olympiques ou plus longues, l’âge minimal est de 18 ans. Des distances jeunesse sont aussi disponibles.

Les tranches d’âge sont différentes selon le type d’épreuves. Les catégories d’âge sont calculées en fonction de l’âge au 31 décembre de l’année en cours.

Triathlon jeunesse

  • U5 (4-5 ans)
  • U7 (6-7 ans)
  • U9 (8-9 ans)
  • U11 (10-11 ans)
  • U13 (12-13 ans)
  • U15 (14-15 ans)

Triathlon sprint et olympique

Les tranches d’âges sont aux 5 ans (p. ex. : 16-19, 20-24, 25-29, 30-34).

Événements provinciaux longue distance et duathlon

Les catégories d’âge sont aux 10 ans (p. ex. : 20-29, 30-39 et ainsi de suite).

Événements nationaux et IRONMAN

Tous les événements nationaux de triathlon longue distance et de duathlon ont des catégories d’âge aux 5 ans (p. ex. : 16-19, 20-24, 25-29, 30-34).

La catégorie d’âge est déterminée en fonction de l’âge au 31 décembre de l’année en cours.

Nous vous conseillons d’arriver au moins 1 h 30 min avant votre départ. Ainsi, vous aurez le temps de vous familiariser avec la zone de transition et de faire un bon échauffement précourse.

Le casque doit être attaché avant de prendre son vélo en T1 et détaché après avoir remis son vélo sur le support en T2.

Non. On peut courir plusieurs mètres après la ligne pour prendre de l’espace avant de monter sur son vélo.

On peut descendre de son vélo avant la ligne de débarquement. Un pied complet doit être en contact avec le sol avant cette ligne. Si une partie de votre pied touche à la ligne, vous devrez corriger l’action avant de repartir.

On peut monter sur son vélo après la ligne d’embarquement. Un pied complet doit être en contact avec le sol après la ligne d’embarquement. Si une partie de votre pied touche à la ligne, vous devrez corriger l’action avant de repartir.

Non. On peut seulement monter sur son vélo après la ligne d’embarquement et en descendre avant la ligne de débarquement.

Non. Marquer votre place vous donnerait un avantage sur les autres compétiteur·trice·s. Les officiel·le·s retirent généralement tout élément jugé comme donnant un avantage, p. ex. : ballon, craie au sol, serviette très visible, etc. Plusieurs événements identifient les supports à vélo par des lettres ou des chiffres pour aider les athlètes à trouver leur vélo.

Non. La majorité des triathlons ont des supports identifiés par vague de départ. Il est très important de suivre les consignes des bénévoles lors de votre entrée dans la zone de transition. Vous devrez remettre votre vélo à cet endroit à la T2.

Les sacs, les boîtes, les pompes à vélo et autres accessoires qui ne sont pas nécessaires à la participation à l’événement sont interdits dans la zone de transition. Vous avez seulement le droit de laisser les objets que vous allez utiliser pendant la course. De plus, puisque l’espace est limité dans la zone de transition, vous devez limiter votre espace à une largeur de 50 cm.

Non, sauf pour les épreuves de longue distance IRONMAN. Si vous souhaitez porter la surcombinaison de natation (speedsuit) absolument, vous devrez la porter pour toutes les épreuves (natation, vélo et course).

Non, le port du dossard de course est interdit à la natation. Vous pouvez le porter en vélo, mais il est obligatoire seulement lors de la course à pied.

Tout·e athlète qui fait un faux départ à la natation devra servir une pénalité en T1, à côté de son vélo. Elle sera de 10 secondes pour distance sprint ou moins, de 15 secondes pour distance olympique, de 30 secondes pour la moyenne distance et de 1 minute pour la longue distance.

Oui, mais l’application de la limite de temps dépend des différents comités organisateurs. La limite de temps pour un triathlon sprint est de 30 minutes. Pour une distance olympique, le temps limite est de 1 h 10 min. Pour une épreuve de 1 500 m à 3 000 m, le temps limite est de 1 h 40 min. Enfin, pour un triathlon d’une distance de 3 000 m à 4 000 m, la limite de temps est de 2 h 15 min.

Oui, vous pouvez vous accrocher à un objet inanimé sans problème, sans pénalité ni disqualification. Par contre, le·la kayakiste doit rester sur place et ne peut vous remorquer. Après avoir repris votre souffle, vous pourrez poursuivre votre épreuve de natation.

Non, les accessoires de flottaison sont interdits en compétition. Par contre, si vous voulez absolument utiliser vos accessoires, avisez un·e officiel·le avant le départ de votre course. Selon l’objet en question, vous pourrez participer à l’événement, mais vous serez disqualifié·e. Vous aurez votre temps final.

La bouée de flottaison d’urgence se gonfle seulement lorsque déclenchée par le·la nageur·euse. Elle est autorisée, mais si vous l’activez, vous serez disqualifié·e.

Non. Les bouées individuelles attachées à la taille ne sont pas acceptées. Cependant, il y a des systèmes qui s’attachent à la cuisse et qu’on gonfle seulement en cas de détresse. Ce type de bouée est autorisé, mais si vous l’utilisez, vous serez disqualifié·e.

Non, il est interdit de couvrir les mains et le visage. Pour les bottes, elles sont autorisées seulement lorsque la combinaison isothermique est obligatoire.

  • Règle ITU : seulement si la combinaison isothermique est autorisée. Si le port de la combinaison est interdit, les bas de compression devront être mis lors de la T1.
  • Règle TQ : les bas de compression sont toujours autorisés pour les athlètes des catégories par groupes d’âge.

Oui. Les casques de néoprène sont permis. Par contre, vous devez porter le casque de bain fourni par l’organisation au-dessus de votre casque de néoprène.

Oui. Cependant, vous devez porter le bonnet de natation fourni par Triathlon Québec ou le comité organisateur par-dessus le vôtre, pour bien suivre les vagues de départ. Si votre allergie est trop sévère, allez voir le·la délégué·e technique de Triathlon Québec qui sera sur place.

Lorsque la température de l’eau est inférieure ou égale à 12 ℃, avec le facteur de correction appliquée. Donc même si la température de l’eau est supérieure à 12 ℃ mais que la température de l’air est inférieure à 15 ℃, le facteur de correction entre en ligne de compte.

Oui, l’utilisation du pince-nez est autorisée.

Oui. Les participant·e·s ont le droit de nager à l’intérieur des bouées d’alignement. Seules les bouées de virage doivent être prises de l’extérieur.

Vous devrez revenir pour contourner la bouée, sinon c’est une disqualification. On parle seulement ici des bouées de virage. Mais sachez qu’on peut passer de n’importe quel côté des bouées d’alignement. Donc les seules bouées qui comptent sont celles situées dans les virages.

Non. On ne peut pas utiliser le fond de l’eau pour se propulser. Par contre, au début et à la fin de chaque boucle de natation, les athlètes sont autorisé·e·s à marcher ou courir en utilisant le fond de l’eau. Dès que l’athlète a commencé à nager, il·elle doit continuer jusqu’à la sortie de l’eau.

Si vous éprouvez un malaise lors de la natation, l’organisation pourra vous remorquer jusqu’à la terre ferme. Si vous désirez continuer l’épreuve et que l’organisation vous en juge capable, vous pourrez terminer l’épreuve, mais vous serez disqualifié·e avec votre temps.

Oui, l’utilisation de l’appareil Tempo Trainer est autorisée.

Le style de natation choisi est à la discrétion du participant ou de la participante. La plupart des nageur·euse·s choisissent le style libre, mais certains utilisent aussi la brasse et le dos

Un·e athlète qui manque son départ doit obtenir l’approbation de l’officiel·le pour partir avec la vague suivante. Il faut toutefois savoir que le temps de départ de l’athlète sera celui de la vague de départ qui lui avait été assignée initialement.

Nous conseillons d’arriver au départ 15 à 20 minutes avant le début de la course. En fonction des compétitions, il est important de regarder l’heure des réunions de précourse afin d’y assister. La plupart du temps, les réunions se déroulent 15 minutes avant le départ, près du lieu de natation.

Le port de la combinaison isothermique est permis à tout âge.

L’épaisseur de la combinaison isothermique ne doit pas excéder 5 mm.

Le port de la combinaison isothermique (wetsuit) dépend de la température de l’eau. Un facteur de correction est appliqué lorsque la température de l’air est inférieure ou égale à 15 ℃. Si la température de l’eau ajustée avec le facteur de correction est :

  • Inférieure ou égale à 12 ℃, la natation est annulée
  • Entre 12 et 15,9 ℃, la combinaison isothermique est obligatoire
  • Entre 16 et 21,9 ℃, le port de la combinaison isothermique est autorisé
  • Égale ou supérieure à 22 ℃, le port de la combinaison est interdit
  • Pour les jeunes (U15 et moins) et les élites, le port de la combinaison isothermique est interdit lorsque la température ajustée de l’eau est égale ou supérieure à 20 ℃

Si un·e officiel·le vous montre un carton jaune, c’est pour corriger une infraction mineure (p. ex. : avoir son casque détaché en possession de son vélo). Dans ce cas, vous n’avez qu’à vous arrêter et corriger votre action selon les recommandations de l’officiel·le (p. ex. : attacher votre casque). Vous pouvez repartir par la suite.

Si un·e officiel·le vous montre un carton bleu, c’est que vous avez une pénalité pour sillonnage (drafting). Ces pénalités doivent être purgées en zone de pénalité. S’il n’y a pas de zone de pénalité, le temps sera ajouté au temps final de l’épreuve. Les pénalités pour sillonnage sont de 1 minute pour la distance sprint ou moins, 2 minutes pour la distance olympique et 5 minutes pour les moyenne et longue distances.

 

Si un·e officiel·le vous montre un carton bleu, il est de votre responsabilité d’arrêter en zone de pénalité (s’il y en a une), sans quoi vous serez disqualifié·e.

Cela dépend des événements, mais normalement vous roulez à droite et dépassez à gauche. Les différentes consignes sont données lors des réunions d’avant-course.

Oui, vous pouvez utiliser votre sac ou ceinture d’hydratation en vélo ou à la course à pied sans problème.

Lors d’un bris ou d’un problème mécanique, vous devez réparer vous-même le bris sans aide extérieure. Seul·e·s les bénévoles et mécanicien·ne·s vélos lié·e·s à l’événement peuvent intervenir et vous aider. Un·e autre athlète peut également vous assister dans votre réparation. Si votre bris survient près de la zone de transition, vous pouvez terminer la section vélo en marchant ou en courant à côté de celui-ci.

Distance olympique ou plus courte

Une distance de 10 mètres entre les vélos doit être respectée pour les épreuves de distance olympique ou moins. Elle est mesurée à partir de l’extrémité frontale de la roue avant de chacun des vélos. Un·e athlète peut entrer dans la zone de sillonnage d’un·e autre athlète à condition qu’il·elle soit en progression dans cette zone. Un maximum de 20 secondes est alloué pour dépasser l’autre athlète. Un·e athlète qui se fait dépasser dispose de 20 secondes pour reculer à l’extérieur de la zone de sillonnage.

Moyenne et longue distance

La zone de sillonnage pour les épreuves de moyenne et longue distances est de 12 mètres. Celle-ci est mesurée à partir de l’extrémité frontale de la roue avant de chaque vélo. Un·e athlète peut entrer dans la zone de sillonnage d’un·e autre athlète à condition qu’il·elle soit en progression dans cette zone. Un maximum de 25 secondes est alloué pour dépasser l’autre athlète.
Un·e athlète qui se fait dépasser dispose de 25 secondes pour reculer à l’extérieur de la zone de sillonnage.

Le sillonnage est une technique de vélo qui consiste à se positionner derrière d’autres cyclistes pour dépenser moins d’énergie et couper le vent. La grande majorité des épreuves par groupes d’âge sont sans sillonnage, tandis que celles pour les athlètes d’élite sont avec sillonnage. Consultez le calendrier de Triathlon Québec pour connaître les courses avec et sans sillonnage.

Oui, le port du casque est obligatoire en tout temps lorsque vous êtes en possession du vélo. Donc lorsque votre vélo n’est pas sur le support à vélo, vous devez avoir votre casque attaché.

Les écouteurs, appareils téléphoniques et toute forme de communication sont interdits sur les compétitions pour des raisons de sécurité.

Non. Malheureusement, on ne peut pas ajuster un temps après coup, car on ne sait jamais ce que les circonstances de course nous réservent. Il faut donc faire le nombre de tours indiqués. Et ne jamais se fier à son odomètre. Sinon c’est une disqualification.

Non, pas du tout ! Un vélo de montagne, de route ou hybride est permis. Par contre, il est important de suivre les règles de compétition qui seront appliquées lors des événements.

Toute montre, peu importe la marque ou le modèle, présente une marge d’erreur entre 1 % et 3 %.

Il faut retirer votre casque avant de quitter la zone de transition, sinon c’est une disqualification.

Non. Vous pouvez marcher ou courir. Contrairement à certaines vidéos spectaculaires sur internet, il est interdit de ramper pour terminer une course.

Oui, vous pouvez utiliser votre sac ou ceinture d’hydratation en vélo et/ou à la course à pied sans problème.

Non. Le port de la combinaison de triathlon ou du chandail est obligatoire en tout temps en vélo et à la course à pied.

Non. Malheureusement, on ne peut pas ajuster un temps après coup, car on ne sait jamais ce que les circonstances de course nous réservent. Il faut donc faire le nombre de tours indiqué, sinon c’est une disqualification.

Le port du dossard est obligatoire à la course à pied pour les athlètes par groupes d’âge même si leur nom est inscrit sur leur combinaison de triathlon (trisuit). Pour les athlètes des catégories U13, U15 et d’élite, le port du dossard n’est pas obligatoire lors des épreuves de la Coupe du Québec ou de la série Grand Prix, seulement si leur nom figure sur leur combinaison de triathlon.

Les écouteurs, appareils téléphoniques et toute forme de communication sont interdits sur les compétitions pour des raisons de sécurité.

Normalement, il y a des points d’eau placés au moins aux 2,5 km sur les événements partenaires de Triathlon Québec. Il peut aussi y avoir parfois de la boisson énergétique et de la glace selon la température. Vous trouverez toutes les informations concernant les parcours de course à pied et l’emplacement des points d’eau sur le site des événements.

  • L’adhésion est valable du 1er avril 2025 au 31 mars 2026.
  • L’âge est calculé en date du 31 décembre de l’année en cours.
  • Les taxes s’ajoutent au prix de l’adhésion.

 

Consulter le détail des tarifs

Les frais d’adhésion à Triathlon Québec sont remboursables seulement lorsqu’une des situations suivantes se présente et que la demande de remboursement se fait dans les deux semaines suivant l’adhésion du ou de la membre :

 

  • Pour différentes raisons, un·e membre s’enregistre en double.
  • Pour différentes raisons, un club enregistre un·e de ses membres en double.

 

Les frais d’adhésion ne sont pas remboursables pour les situations suivantes :

  • Un·e membre décide de ne plus pratiquer le triathlon.
  • Un club affilie un·e membre sans son accord alors que cette personne avait décidé de cesser la pratique du triathlon.
  • Une compétition à laquelle un·e membre était inscrit·e est annulée.
  • Situation de force majeure.
  • Toute autre situation.

 

Un cas de force majeure est un événement imprévisible et irrésistible qui résulte de circonstances extérieures aux parties et qui empêche l’exécution d’une obligation. Sont notamment considérés comme des cas de force majeure les suivants : barrage routier, épidémie, pandémie, explosion, glissement de terrain, grève, guerre, incendie, inondation, ouragan, panne d’électricité, sécheresse, verglas.

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